Vendredi 4 décembre 5 04 /12 /Déc 20:30

 

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N'arrêtes pas de te transformer jusqu'à ce qu'il ne reste de toi qu'une poupée à baiser en plastique. Tu n'existe que pour satisfaire les hommes et te faire sauter aussi souvent que possible. Pourquoi résister quand tu sais au fond de toi que c'est ton souhait ?

Par stefanietv
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 23:35

Sucer ma première bite m'a beaucoup appris. J'ai compris ce jour-là qu'un retour en arrière ne serait jamais possible. Je suis une femelle, destinée à satisfaire les besoins des hommes. J'ai aimé plaire à ce mâle. J'ai aimé m'abandonner sous ses caresses. J'ai aimé sentir ses mains glisser sur mes cuisses, dans mon soutien gorge. J'ai salivé en découvrant sa queue en errection. J'ai aimé aussi le pomper jusqu'à ce délicieux moment ou il m'a offert ma récompense, le moment ou cet homme coulait au fond de ma gorge. Ce moment ou, enfin, je me sentais femme.

 

Je suis dès cet instant devenue accro. J'ai donc pris mon indépendance au plus vite, pour immédiatement me constituer une garde robe digne de ce nom et enfin écumer les aires d'autoroute la nuit à la recherche de chaleur humaine. Les aires de ma région (en Suisse) sont bien connues pour cela. J'y ai fait d'assez nombreuses rencontres, et ma soif était très généralement assouvie.

 

Un homme, mûr de nouveau, a voulu aller plus loin et je ne me suis bien sur pas faite prier. Il mit donc un préservatif pendant que pour ma part, je me penchais en avant. J'étais offerte, à sa merci. D'un doigt, il étala sa salive autour et dans mon petit trou. Ce fut enfin le moment magique ou quelque chose de bien plus gros entra. Il s'introduisit lentement entre mes fesses pour enfin me ramoner. Il tenait sa femelle par les hanches, et je pouvais sentir en moi chacun de ses coups de reins. Il lima mon petit trou qui, ce soir là, était pour lui. Je gémissais et prenais un plaisir fou. Il finit par se vider et se retira de mon intimité. Je l'ai remercié pendant qu'il enlevait son préservatif. Mon petit cul était en feu. Je rentrais chez moi, toute chamboulée, heureuse de ce qu'il m'a fait, de lui avoir offert ma virginité et d'être enfin devenue une femme à part entière.

 

Je suis retournée de nombreuses fois sur ces aires d'autoroute ou d'autres mâles m'ont offert leur queue à sucer ou m'ont baisée. Devenue un vrai garage à bites, j'ai décidé d'aller plus loin. C'est vêtue en véritable pute que je me suis rendue 3 ou 4 soirs à Lausanne faire le tapin. Je me suis trouvé un coin discret, peu fréquenté par les autres filles, mais ou les hommes passaient en voiture nécessairement. Lorsque les voitures ralentissaient pour me reluquer, je m'approchais afin de les aborder. Ceux qui étaient intéressés par les femmes « naturelles » repartaient en général. Les autres ouvraient leur fenêtres, me demandaient mes tarifs pour ensuite me faire monter. Ce que j'ai retiré de cette expérience, c'est que j'ai aimé cette forme de soumission. Mes clients me jugeaient d'abord sur mon physique, puis me faisaient monter avec eux pour m'utiliser à leur convenance (toujours avec préservatif cependant). Pas question pour la pute de refuser ou de faire machine arrière. J'en ai déduit que les hommes m'étaient supérieurs, et que mon seul et unique rôle était de satisfaire leur plaisir et leur désirs en m'utilisant à leur convenance comme vide-couilles.

 

Toutes ces expériences ont faites de moi la femme que je suis aujourd'hui et ont conditionné ce que je recherche chez un mâle, à savoir un homme mûr et dominant. Je recherche aujourd'hui un tel homme prêt à me laisser tomber amoureuse.

Par stefanietv
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Mercredi 11 novembre 3 11 /11 /Nov 16:13

Bonjour,

 

Je suis Stéphanie, travestie amatrice. J'ai 34 ans aujourd'hui (quelques kilos en trop, je l'admets).

 

Mon histoire dans le travestissement commence vers mes 12 ans. Bien avant déjà, je me sentais différente. Probablement parce que petite, je préférais jouer avec les Barbies de ma soeur qu'aux voitures. Cependant, je me suis adaptée à ce que la société attendait de moi. Or, vers 12 ans, il m'arrivais parfois d'être seule à la maison. Ni une, ni deux, j'ai beaucoup profité de cette occasion pour porter les habits de ma soeur ou de ma mère ainsi que leur maquillage. Le tout, celà va de soi, dans une discrétion absolue. Au début, cela se limitait aux jupes et aux tops. J'en tirais une certaine satisfaction. Le besoin ensuite de porter d'autres choses se fit bien vite sentir. Les soutiens gorges et autres nuisettes s'ajoutèrent à mes tenues préférées. Je passais donc plusieurs années ainsi, à attendre avec impatience ces moments toujours plus fréquents ou je pourrais porter mes tenues favorites.

 

Puis vinrent mes 19 ans. Je me suis lancée. Une fois mes parents partis en vacances pour une semaine, la maison m'était totalement libre. Je pris de suite la voiture qu'ils avaient laissé à ma disposition pour aller m'acheter quelques habits  que je cacherais ensuite dans ma chambre. Le soir, après m'être douchée, habillée et maquillée, je décidais de sortir enfin. C'est donc aprêtée, vêtue d'une minijupe et de sandales ainsi qu'un petit haut que je pris ma voiture. Puis je me suis rendue sur un parking où, la nuit tombée, des hommes cherchaient paraît-il d'autres hommes. Je souhaitais seulement regarder, attisée par la curiosité. Loin de moi l'idée d'aller plus loin pour l'instant. Cependant, j'ai machinalement allumé le plafonnier pour vérifier mon maquillage. Ni une ni deux, quelqu'un vint frapper à la fenêtre, me faisant sursauter. J'ouvris. Un homme d'une quarantaine d'années se tenait là, regardant mes cuisses avec insistance. D'abord surprise, je me rendit à l'évidence : tout chez moi suggérait une salope en chaleur à la recherche d'attention masculine : le peu de longueur de ma jupe qui laissait même entrevoir mon string, mon maquillage de pute... Je fus soudain envahie d'une émotion étrange, à la fois chargée de stress et de désir : le désir d'essayer.

"Tu cherche quelque chose ? me dit-il.

- Cela dépends de toi, répondis-je maladroitement. Tu voudrais quoi ?

- Une bonne pipe"

Je ne pouvais plus faire demi-tour. Et je dois bien avouer que cela me tentait de plus en plus. Je lui proposai donc de monter dans la voiture. Alors que je supposais qu'il allait se mettre à la place passager, il monta derrière et me proposa de nous rendre dans un endroit plus discret que ce parking. Pendant qu'il m'indiquait le trajet, ses mainsme caressaient, passaient sous ma jupe, sous mon haut. J'aimais sentir ses caresses. Arrivés à destination, il me proposa d'aller moi aussi à l'arrière. Je ne sais pas quand ni comment il a pu se déshabiller entre temps, mais il était là, sans pantalon ni caleçon, sa queue bien raide, probablement tendue suite aux douceurs qu'il m'avait déjà prodigué. Il m'ordonna de le sucer. Je me suis accroupie, et c'est avec avidité que j'engloutis son pieu dans ma gorge.. Mes mains de femmes le caressaient, ma tête allait et venait, sucant sa bite avec une avidité que je n'aurais pas soupçonnée. Tantôt il me donnait le rythme en me tenant la tête, tantôt il me la tenait fort contre lui,, remplissant jusqu'à ma gorge, ou parfois encore il me laissait sucer. J'y prenais un plaisir fou. J'aurais aimé que cet instant dure, mais il finit bien-sur par jouir en moi. Le sperme coula dans ma gorge. Je n'ai jamais oublié cette intense sensation, ce goût.Je nettoyais bien sa queue pour ne pas en perdre une goutte, puis je regarda cet homme mur qui venait de prendre ma virginité et le remercia. Il me répondit que j'étais une bonne suceuse et me demanda si je faisais souvent cela. Je lui avoua que c'était ma première fois. Il me rétorqua que je devais aimer et avoir été faite pour vider les couilles car j'avais, selon lui un don.

 

C'est toute heureuse de ses compliments que je le ramena au parking et rentra enfin chez moi. Ce jour était le premier de ma vie de femme, car c'est ce qu'il avait fait de moi. Et je me rendais compte bien plus tard que par la même occasion, il avait aussi fait de moi une véritable junkie du sperme, accro à la bite et aux hommes.

Par stefanietv
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