Mercredi 11 novembre 3 11 /11 /Nov 16:13

Bonjour,

 

Je suis Stéphanie, travestie amatrice. J'ai 34 ans aujourd'hui (quelques kilos en trop, je l'admets).

 

Mon histoire dans le travestissement commence vers mes 12 ans. Bien avant déjà, je me sentais différente. Probablement parce que petite, je préférais jouer avec les Barbies de ma soeur qu'aux voitures. Cependant, je me suis adaptée à ce que la société attendait de moi. Or, vers 12 ans, il m'arrivais parfois d'être seule à la maison. Ni une, ni deux, j'ai beaucoup profité de cette occasion pour porter les habits de ma soeur ou de ma mère ainsi que leur maquillage. Le tout, celà va de soi, dans une discrétion absolue. Au début, cela se limitait aux jupes et aux tops. J'en tirais une certaine satisfaction. Le besoin ensuite de porter d'autres choses se fit bien vite sentir. Les soutiens gorges et autres nuisettes s'ajoutèrent à mes tenues préférées. Je passais donc plusieurs années ainsi, à attendre avec impatience ces moments toujours plus fréquents ou je pourrais porter mes tenues favorites.

 

Puis vinrent mes 19 ans. Je me suis lancée. Une fois mes parents partis en vacances pour une semaine, la maison m'était totalement libre. Je pris de suite la voiture qu'ils avaient laissé à ma disposition pour aller m'acheter quelques habits  que je cacherais ensuite dans ma chambre. Le soir, après m'être douchée, habillée et maquillée, je décidais de sortir enfin. C'est donc aprêtée, vêtue d'une minijupe et de sandales ainsi qu'un petit haut que je pris ma voiture. Puis je me suis rendue sur un parking où, la nuit tombée, des hommes cherchaient paraît-il d'autres hommes. Je souhaitais seulement regarder, attisée par la curiosité. Loin de moi l'idée d'aller plus loin pour l'instant. Cependant, j'ai machinalement allumé le plafonnier pour vérifier mon maquillage. Ni une ni deux, quelqu'un vint frapper à la fenêtre, me faisant sursauter. J'ouvris. Un homme d'une quarantaine d'années se tenait là, regardant mes cuisses avec insistance. D'abord surprise, je me rendit à l'évidence : tout chez moi suggérait une salope en chaleur à la recherche d'attention masculine : le peu de longueur de ma jupe qui laissait même entrevoir mon string, mon maquillage de pute... Je fus soudain envahie d'une émotion étrange, à la fois chargée de stress et de désir : le désir d'essayer.

"Tu cherche quelque chose ? me dit-il.

- Cela dépends de toi, répondis-je maladroitement. Tu voudrais quoi ?

- Une bonne pipe"

Je ne pouvais plus faire demi-tour. Et je dois bien avouer que cela me tentait de plus en plus. Je lui proposai donc de monter dans la voiture. Alors que je supposais qu'il allait se mettre à la place passager, il monta derrière et me proposa de nous rendre dans un endroit plus discret que ce parking. Pendant qu'il m'indiquait le trajet, ses mainsme caressaient, passaient sous ma jupe, sous mon haut. J'aimais sentir ses caresses. Arrivés à destination, il me proposa d'aller moi aussi à l'arrière. Je ne sais pas quand ni comment il a pu se déshabiller entre temps, mais il était là, sans pantalon ni caleçon, sa queue bien raide, probablement tendue suite aux douceurs qu'il m'avait déjà prodigué. Il m'ordonna de le sucer. Je me suis accroupie, et c'est avec avidité que j'engloutis son pieu dans ma gorge.. Mes mains de femmes le caressaient, ma tête allait et venait, sucant sa bite avec une avidité que je n'aurais pas soupçonnée. Tantôt il me donnait le rythme en me tenant la tête, tantôt il me la tenait fort contre lui,, remplissant jusqu'à ma gorge, ou parfois encore il me laissait sucer. J'y prenais un plaisir fou. J'aurais aimé que cet instant dure, mais il finit bien-sur par jouir en moi. Le sperme coula dans ma gorge. Je n'ai jamais oublié cette intense sensation, ce goût.Je nettoyais bien sa queue pour ne pas en perdre une goutte, puis je regarda cet homme mur qui venait de prendre ma virginité et le remercia. Il me répondit que j'étais une bonne suceuse et me demanda si je faisais souvent cela. Je lui avoua que c'était ma première fois. Il me rétorqua que je devais aimer et avoir été faite pour vider les couilles car j'avais, selon lui un don.

 

C'est toute heureuse de ses compliments que je le ramena au parking et rentra enfin chez moi. Ce jour était le premier de ma vie de femme, car c'est ce qu'il avait fait de moi. Et je me rendais compte bien plus tard que par la même occasion, il avait aussi fait de moi une véritable junkie du sperme, accro à la bite et aux hommes.

Par stefanietv
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Pages

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus